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L’AUTOMNE : La saison du renouveau et de la douceur

L’AUTOMNE : La saison du renouveau et de la douceur

L’été s’éloigne doucement, laissant place à une saison aux couleurs chaudes et aux atmosphères apaisantes : l’automne. Cette période de transition nous invite à ralentir, à contempler et à nous reconnecter avec la nature et nous-mêmes.

Les couleurs et les sensations de l’automne

L’automne se distingue par ses paysages flamboyants. Les feuilles se parent de teintes rouges, orangées et dorées, créant un véritable tableau vivant dans nos villes et campagnes. Les promenades en forêt deviennent des moments de détente où l’on peut écouter le craquement des feuilles sous nos pas et respirer l’air frais chargé de senteurs de terre et de bois humide.

C’est aussi une saison qui stimule nos sens. Les odeurs de pommes, de cannelle et de potiron commencent à se faire sentir dans les maisons et les marchés. Les soirées plus fraîches nous invitent à savourer des boissons chaudes, à nous blottir sous des plaids pour profiter d’instants de confort simple.

 

Une saison de transition et de réflexion

L’automne marque le passage vers l’hiver. Les jours raccourcissent et la lumière se fait plus douce, créant un rythme propice à l’introspection. C’est le moment idéal pour ralentir, faire le point sur nos projets et prendre soin de notre bien-être mental et physique.

 

Se préparer au changement de saison : L’automne et la réflexologie plantaire

La réflexologie plantaire, pratique douce et naturelle, peut être une alliée précieuse pour traverser ce changement de saison en harmonie.

 

Pourquoi l’automne peut affecter notre corps

Avec la baisse des températures et la diminution de la luminosité, notre corps subit naturellement des ajustements :

 énergie parfois en baisse

  •  immunité à soutenir
  •  digestion à stimuler pour s’adapter aux aliments de saison
  •  stress ou fatigue émotionnelle plus présents

 

Prendre soin de soi devient essentiel pour accueillir cette saison sereinement et de prévenir les petits désagréments liés au changement climatique interne et externe.

Les zones à travailler pour un automne en douceur

  •    les poumons et le système respiratoire : pour renforcer notre immunité face aux changements climatiques
  •    les reins et la vessie : pour soutenir l’élimination des toxines et l’équilibre hydrique.
  •    le plexus solaire et le diaphragme : pour relâcher le stress et améliorer la respiration.
  •    le système digestif : pour accompagner l’adaptation à l’alimentation automnale,  plus riche en fibres et en légumes racines.

     

    Accueillir l’automne, c’est prendre soin de soi avec douceur et intention. La réflexologie transforme ce changement de saison en moment de bien-être et de vitalité.

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Le corps et les émotions

Le corps et les émotions

Le lien entre les émotions et notre corps est profond et bidirectionnel : nos émotions influencent notre corps, et notre corps influence nos émotions. Voici quelques points clés pour comprendre cette interaction :

1. Réactions physiologiques aux émotions

Chaque émotion déclenche une réponse corporelle spécifique :

  • La peur active le système nerveux sympathique : accélération du rythme cardiaque, respiration rapide, tension musculaire.

  • La tristesse peut entraîner une baisse d’énergie, un ralentissement des mouvements et une sensation de lourdeur.

  • La joie s’accompagne souvent de sensations de légèreté, de chaleur ou d’excitation.

2. L’impact des émotions sur la santé physique

Des émotions négatives chroniques (stress, colère, anxiété) peuvent :

  • affaiblir le système immunitaire,

  • causer des troubles digestifs ou cardiaques,

  • provoquer des tensions musculaires et douleurs chroniques.

À l’inverse, les émotions positives favorisent :

  • une meilleure immunité,

  • une récupération plus rapide,

  • une perception plus favorable de la douleur.

3. Le corps comme messager émotionnel

Parfois, les émotions refoulées ou non exprimées s’expriment à travers le corps (somatisation) : maux de ventre, migraines, eczéma, etc. Le corps « parle » quand la parole ne suffit pas.

4. Techniques pour harmoniser corps et émotions

  • Respiration consciente pour apaiser l’anxiété.

  • Exercice physique pour réguler les humeurs.

  • Méditation et pleine conscience pour développer une meilleure écoute intérieure.

  • Expression artistique ou verbale pour libérer les émotions.

Réflexologie plantaire : les vertus insoupçonnées d’une Médecine Millénaire

Réflexologie plantaire : les vertus insoupçonnées d’une Médecine Millénaire

Connaissez-vous la réflexologie plantaire ? Cette médecine naturelle, offre une aide précieuse à toutes celles et ceux qui cherchent à retrouver un équilibre bénéfique, aussi bien dans leur corps que dans leur tête.

Qu’est-ce que la réflexologie plantaire ?

Née il y a plus de 4000 ans, La réflexologie plantaire est une médecine douce, utilisée en complément de la médecine traditionnelle. Issue de nombreuses médecines dont la chinoise, elle est encore peu répandue en Suisse, et pour ceux qui l’ont intégrée dans leur parcours de soins, il s’agit fréquemment de soulager le stress. Pourtant, elle présente de très nombreux bienfaits méconnus !

En quoi consiste-t-elle ?

Il s’agit d’une technique de massage des pieds. Elle s’appuie sur la théorie selon laquelle chaque partie du corps serait reliée à un point précis de la voûte plantaire. Ces zones sont appelées “points réflexes”.

En fonction des symptômes manifestés par le patient, le praticien stimulera donc l’un ou l’autre de ces points par un massage par pression des doigts. Le but est d’ainsi agir sur les zones du corps douloureuses ou problématiques. Il s’agit donc d’une pratique totalement indolore, même si vous êtes particulièrement sensible des pieds !

Des bienfaits pour le corps et l’esprit

La réflexologie plantaire sert-elle uniquement à soulager le stress, en réalité, ses vertus sont nombreuses et touchent aussi bien la sphère physique que psychique.

  • Retrouver son bien-être et un état de détente ;
  • Se reconnecter à son corps, ses sensations ;
  • Lutter contre le stress ;
  • Favoriser une meilleure digestion ;
  • Renforcer son système immunitaire ;
  • Faciliter le drainage lymphatique et intervenir sur les problèmes de rétention d’eau ;
  • Soulager les douleurs articulaires ;
  • Apaiser les douleurs menstruelles, etc.

On peut également demander l’aide d’un réflexologue pour soulager des souffrances plus psychiques, telles que le manque lié à l’arrêt du tabac, de l’alcool ou de la drogue. En outre, la réflexologie plantaire peut vous aider à mieux gérer vos émotions.

De plus, bien que ces consultations n’aient pas vocation à soigner le cancer ou d’autres pathologies lourdes, elles permettent de mieux supporter les effets secondaires des traitements et d’améliorer la qualité de vie du malade.

Dans quels cas vaut-il mieux renoncer à la réflexologie plantaire ?

Si la pratique de cette médecine naturelle s’adresse au plus grand nombre, il existe toutefois quelques situations spécifiques dans lesquelles il est préférable d’annuler ou de repousser un rendez-vous de réflexologie plantaire :

  • vous vous trouvez dans votre premier trimestre de grossesse ;
  • on vient de vous diagnostiquer une maladie cardiaque ;
  • vous avez souffert récemment d’une phlébite ;
  • vous avez subi un traumatisme au niveau des pieds.

Trouver un meilleur sommeil

De très nombreuses personnes à travers le monde profitent des bienfaits de la réflexologie plantaire pour retrouver une meilleure qualité de sommeil.

Les actions relaxantes et déstressantes du corps apportées par cette technique permettent en premier lieu d’améliorer le terrain conduisant à l’insomnie. De plus, tout comme en médecine chinoise, la réflexologie plantaire s’interroge sur les relations entre le sujet et son environnement. Un manque de sommeil ou des difficultés d’endormissement peuvent traduire une dysharmonie. Cette dernière peut empêcher l’énergie vitale du patient (le Qi) de circuler dans l’organisme, entraînant réveils nocturnes ou prématurés, et endormissements tardifs.

Au commencement de chaque rendez-vous avec un réflexologue plantaire a lieu un entretien permettant au praticien de mieux cibler le type et les motifs de l’insomnie. C’est cette discussion qui lui permettra de mieux cibler les zones réflexes du pied, et adapter les séances au profil du patient.

Peut-on maigrir avec la réflexologie plantaire ?

Le long combat que représente l’amaigrissement peut pousser hommes et femmes à se livrer aux régimes les plus drastiques, pour la plupart voués à l’échec à plus ou moins brève échéance.

Toutefois, il existe de nombreux moyens de se soutenir durant une période de rééquilibrage alimentaire. La réflexologie plantaire a pour but d’encourager, sinon une perte de poids rapide, du moins un retour à l’équilibre et à la paix intérieure.

Quels sont les effets des séances de réflexologie plantaire sur l’amaigrissement ?

  • La réflexologie peut agir sur le transit et les difficultés de digestion. Il favorise également l’élimination des toxines et des graisses en stimulant le drainage lymphatique.
  • La réflexologie plantaire vise à accompagner l’organisme vers un retour à l’équilibre, ou homéostasie. Elle peut ainsi soutenir le patient vers un retour à son poids d’équilibre.
  • De plus, en agissant sur le stress et la gestion des émotions, le praticien aide ainsi son patient à limiter les grignotages et les prises alimentaires motivées par certaines émotions négatives, telles que l’angoisse, la fatigue nerveuse ou la tristesse.
Fatigue mentale : diagnostic, conséquences et solutions

Fatigue mentale : diagnostic, conséquences et solutions

Épuisement, irritabilité, concentration difficile, perte de motivation… Ces mots vous parlent ? Dans notre société hyper connectée, la fatigue mentale touche de plus en plus de personnes. Découvrez, dans cet article, comment identifier ses symptômes, comprendre ses conséquences et, surtout, les solutions pour retrouver l’équilibre et vous sentir mieux au quotidien.

Qu’est-ce que la fatigue mentale ?

L’épuisement mental se définit comme un état de lassitude cognitive résultant d’une longue période de stress ou d’activité mentale intense.
Il se manifeste, principalement, par une diminution de la capacité à se concentrer, une baisse de la performance intellectuelle et un sentiment général d’épuisement qui ne se dissipe pas avec le repos physique. Nous verrons plus en détails les symptômes de la fatigue mentale dans la prochaine partie.
Contrairement à la fatigue physique, elle ne concerne pas les muscles mais l’esprit, affectant la capacité à réfléchir, à prendre des décisions et à gérer les émotions.

Lorsque l’on parle d’épuisement psychologique, on peut également parler de surmenage que l’on retrouve dans différents contextes. Voici quelques exemples d’éléments déclencheurs du surmenage psychologique :

  • La surcharge de travail : des journées longues et chargées sans pauses adéquates.
  • Le stress chronique une exposition continue à des situations stressantes sans période de récupération.
  • Les troubles du sommeil : des nuits courtes ou de mauvaise qualité affectant la récupération cognitive.
  • La multitude de tâche à réaliser : le fait de jongler entre plusieurs tâches sans se concentrer pleinement sur une seule.
  • La pression pour atteindre la perfection : la poursuite incessante de standards élevés peut épuiser mentalement.
  • L’isolement social : un manque d’interaction sociale peut contribuer à l’accumulation de stress mental.
  • L’exposition excessive aux écrans : une utilisation prolongée d’appareils numériques peut fatiguer le cerveau.

Comprendre ces éléments déclencheurs permet d’identifier les causes de la fatigue mentale et de chercher des solutions adaptées pour y remédier. Reconnaître les signes précurseurs et prendre des mesures préventives peut aider à maintenir un équilibre mental et à préserver la santé cognitive.

Quels sont les signes et les symptômes pour identifier cet épuisement ?

Identifier la fatigue mentale peut s’avérer complexe, car ses symptômes se confondent souvent avec ceux d’autres pathologies ou sont attribués à des facteurs de stress quotidiens. Cependant, reconnaître les signes précurseurs est crucial pour intervenir tôt et éviter que cet épuisement ne s’aggrave. Voici 5 signes de surmenage, qui peuvent indiquer la présence d’un épuisement mental :

  • Difficultés à se concentrer et à prendre des décisions.
  • Irritabilité et changements d’humeur fréquents.
  • Baisse de la motivation et de l’intérêt pour les activités habituelles.
  • Sentiment constant d’être débordé
  • Problèmes de mémoire

Quelles sont ses conséquences sur la vie quotidienne ?

La fatigue mentale ne se limite pas uniquement à un état d’épuisement psychologique ; elle a des répercussions tangibles sur divers aspects de la vie quotidienne. Les effets cumulatifs de cet état peuvent se manifester de manière significative, affectant non seulement l’individu sur le plan interne, mais aussi dans ses interactions avec le monde extérieur. Voici trois conséquences principales du surmenage psychologique :

  • Impacts sur la santé mentale
  • Répercussions physiques
  • Effets sur le plan social et professionnel
Les conséquences du stress sur l’organisme

Les conséquences du stress sur l’organisme

Le stress fonctionne un peu comme un réflexe à la suite duquel le système nerveux réagit en sécrétant des hormones qui dopent naturellement l’organisme. Pour faire face aux situations stressantes, un apport supplémentaire d’énergie est nécessaire.

Les effets liés au stress et à l’anxiété peuvent être multiples et les conséquences sont parfois ravageuses. Dans cet article, nous vous détaillons les différents types de stress et les symptômes que nous pouvons y associer.

1er effet : le stress aigu
À la suite d’une situation stressante où il s’agit de combattre ou de fuir, l’organisme réagit biologiquement en 2 temps. La réponse est commandée par le SNA (Système Nerveux Autonome) qui déclenche la production d’hormones destinées à apporter une réponse à court terme, indépendamment de tout contrôle volontaire.

1er temps : le choc
– le taux de sucre dans le sang s’effondre ;
– le tonus musculaire s’effondre aussi ;
– l’esprit s’embrouille ;
– des manifestations physiques apparaissent.

2e temps : la réaction
Lorsqu’il perçoit une menace, l’organisme active instantanément l’hypothalamus, une structure du cerveau limbique qui assure l’homéostasie, c’est-à-dire le maintien à l’équilibre des constantes biologiques (pression artérielle, fréquence cardiaque et respiratoire). D’une part, la réaction de stress mobilise la branche sympathique et donc la médullosurrénale qui libère aussitôt des catécholamines (adrénaline) ou « hormones du stress ».

On parle « d’axe du stress » qui est déclenché par deux sortes de stimuli alertant directement l’hypotalamus :

les stimuli cognitifs, tels les stimuli physiques (douleurs, froid, bruit), et les émotions perçues par les organes des sens et le système nerveux ;
les stimuli non cognitifs tels les virus et les bactéries reconnus par le système immunitaire.
Grâce à cet apport d’adrénaline, l’organisme est capable de décupler vos forces mentales et physiques. Néanmoins, il s’agit d’un régime de fonctionnement coûteux dans lequel les réserves énergétiques mobilisables font défaut rapidement. La prolongation de la réaction implique le soutien de l’axe corticotrope (hypotalamus-hypophyse-corticosurrénale) qui augmente la sécrétion de cortisol.
Dans ces conditions, et si la menace a disparu, la situation est maîtrisée, tout rentre dans l’ordre sous l’effet apaisant du cortisol. La production de cortisol sera ensuite freinée par l’hippocampe, structure du lobe temporal de notre cerveau. Fin de l’épisode de stress.

2e effet : le stress chronique
S’il ne s’agit plus d’un prédateur mais d’un stress qui persiste, qui revient régulièrement à la charge, l’activation de l’organisme tend à perdurer. Il sécrète des hormones telles que le cortisol, la dopamine, la sérotonine, l’endorphine. Or, les effets du premier, bénéfiques en situation de stress aigu, s’avèrent néfastes lorsque le stress devient chronique.
En effet, le rôle du cortisol est de libérer du sucre à partir des réserves de l’organisme pour faire face à une demande accrue d’énergie. Il est ainsi responsable d’une augmentation de la dégradation des protéines, car pour produire des substrats énergétiques, l’organisme qui a épuisé ses réserves de sucres et de lipides, attaque désormais ses propres structures. Cette production de composants énergétiques se traduit par :

• une augmentation du glucose, des triglycérides et du cholestérol sanguin, à l’origine de maladies cardiovasculaires ;
• un effet sur les capacités immunitaires. Vos défenses naturelles s’affaiblissent.
Pour pallier aux effets négatifs d’une sécrétion excessive et prolongée de cortisol, l’organisme dispose d’un mécanisme de régulation : l’hippocampe, structure du lobe temporal du cerveau, freine la sécrétion de CRH (Corticotropin Releasing Hormone*) par l’hypothalamus, ce qui réduit celle de cortisol, toxique pour lui.

Ce mécanisme fonctionne pour les cas de stress aigu. Mais en situation de stress chronique, l’hippocampe perd sa capacité à freiner l’hypotalamus. L’activation de l’axe corticotrope tend à se pérenniser : le cortisol reste élevé ! Ce dernier manifeste alors son pouvoir anxiogène et dépresseur sur nous. Il entraîne une dégradation de la mémoire et de nos capacités d’apprentissage. On atteint ce que les spécialistes appellent « la phase d’épuisement » ; les réactions de votre SNA** ne sont plus adaptées aux sollicitations de l’environnement.

3e effet : la réaction physique
Le physique face au stress aigu
Pendant une période de stress intense, des symptômes physiques peuvent apparaitre : pâleur, tremblements, sueur abondante, malaise, boule dans la gorge, serrement à la poitrine, noeud à l’estomac, spasmes digestifs, extrémités froides.

Après un stress, il est fréquent d’être épuisé tant physiquement que psychiquement. Les gestes sont lents et lourds, la voix est altérée, une sensation de soulagement euphorique apparaît en même temps qu’une perte des capacités d’évaluation et de mémorisation. C’est pourquoi il faut toujours éviter, après avoir surmonté une grave danger, de se relâcher complètement : c’est le phénomène de suraccident.

Corps et esprits intimement liés
À la suite d’un événement traumatisant ou d’une répétition d’échecs, le stress s’installe et menace l’équilibre de l’organisme. Le plus souvent, les effets du stress prolongé commencent à se faire sentir sur le psychisme, et des manifestations physiques apparaissent : palpitations cardiaques, douleurs et tensions (dans les mâchoires, le cou ou le dos), asthénie (état de fatigue général), difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, vertiges, dyspnée (difficultés à respirer), nausées, ballonnements.

 

Les effets nocifs du stress sur le physique
La tempête hormonale déclenchée par le stress n’est pas nocive pour l’organisme si la situation se régularise, soit parce que les facteurs de stress ont disparu, soit parce que la personne concernée y à fait face. En revanche, si la tension persiste, les hormones du stress sont susceptibles d’altérer la santé physique de l’individu. Le système nerveux, à force d’être sollicité, réagit de façon excessive et épuise les réserves naturelles du corps.

 

4e effet : l’impact psychologique
Les ressources du mental
Les mécanismes biologiques, à eux seuls, ne suffisent pas à gérer un événement stressant. En effet, l’organisme fournit des substances pour passer vite à l’action ou pour tenir le choc. Il faut alors mobiliser les ressources psychiques. C’est le mental qui gouverne la motivation, la combativité, le sang-froid et la confiance en soi !

 

Le psychisme face aux différents stress
Lors d’un stress aigu, nous élevons instantanément notre niveau de vigilance et focalisons notre attention sur le danger. Tous les sens sont en alerte. Des phénomènes psychiques peuvent apparaître :

– une sensation d’irréalité de ce qui vient de se passer ;
– une tension psychique pénible avec prise de conscience lucide de la situation vécue.
A contrario, dans le stress chronique, les troubles psychologiques suivants peuvent vous perturber : rumination des soucis quotidiens, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, sensation de tête vide, anxiété, hyperémotivité, agitation, fébrilité, inhibition, incapacité à réagir aux événements, sensations de blocage de toute initiative.

 

Les effets nocifs du stress sur le psychisme
Après un stress, on dit que l’émotion retombe. Il y a alors perte de tout contrôle émotionnel (possible pleurs, pulsions…). Il est alors impossible de se mobiliser pour agir. Si le stress perdure encore et si personne n’est en soutient une perte de confiance en soi peut subvenir.